Plusieurs informations distillées dans certains médias et autres réseaux sociaux circulent ces derniers temps pour discréditer une femme, intelligente, avocate de son état, et dont la renommée d’excellence a franchi les frontières. Pourtant, Maître Bestine Kazadi n’est impliquée ni de loin ni de près dans cette campagne de sape visiblement mal préparée dans de petits laboratoires, spécialistes en faux. La voilà lavée de tout soupçon!
Pour Charles Batubenge, son Conseil, cette campagne médiatique et calomnieuse menée ces derniers jours, est organisée contre la personne de Bestine Kazadi Ditabala, avocate au Barreau de Kinshasa/Matete, dont le Cabinet est situé sur avenue du Tchad au numéro 100, dans la commune de la Gombe, et mérite un démenti formel.
Bien que par principe déontologique, un avocat ne peut communiquer sur tout dossier traité pour compte d’un client, il s’avère néanmoins impérieux, qu’au regard des accusations mensongères et injurieuses portant atteinte à la personne précitée, de donner quelques arguments-massues pour laver son honneur bafoué dans la presse et les réseaux sociaux.
« En attendant que des investigations soient faites à propos des motivations vicieuses des auteurs avec intention de nuire, nous voudrions confirmer au public que Maître Bestine Kazadi n’est ni mêlée à un quelconque détournement de fonds, ni à un abus de confiance envers autrui. Les informations diffusées uniquement à travers les canaux médiatiques sont erronées et totalement fausses », a commencé Charles Batubenge.
Il a, en outre, évoqué juste un indice capital pour clouer la bouche des diffuseurs de ces faux bruits en évoquant le compte bancaire auquel a fait allusion l’ennemi.
« Le compte bancaire dont il est fait mention n’est ni le compte personnel ni le compte professionnel de Maître Bestine Kazadi ; information facile à vérifier auprès des banques concernées. Ce qui prouve à suffisance une volonté manifeste de porter préjudice par des propos graves et offensants sans aucun fondement », a-t-il ajouté.
Enfin, eu égard aux principes de confidentialité qui régissent la profession d’avocat, il s’est refusé, par respect aux ayants-droit, de s’exprimer publiquement quant aux autres aspects évoqués par ladite presse. Toutefois, le Conseil de Maître Bestine Kazadi se réserve le droit de poursuivre tous les auteurs et leurs complices qui continueront à participer à cette campagne de dénigrement aussi bien dans la presse que dans les réseaux sociaux.
Badinews